• Nicolas : la maîtrise du vertige

    Nicolas : la maîtrise du vertige

     

     

     

    Nicolas Varriot était présent à l'inauguration de la nouvelle salle de la Tour du Bost, en décembre dernier. Il fut aux avant-postes au moment de la pose de la poutre, massive, qui en soutient désormais le plafond.

     

     


     
    Combien de temps avez-vous travaillé sur le chantier de la Tour du Bost avec Tremplin ?

    J'ai fait deux contrats de six mois, soit un an en tout. Je suis parti juste après la pose de la poutre du niveau 4, avant la pose du plancher. C'était moi qui était à l'extérieur de la tour pour y faire entrer la poutre, avec le charpentier, en haut de l'échafaudage.

    Nicolas : la maîtrise du vertige

    Nicolas Varriot : en haut de l'échafaudage, sur la droite,
    attendant de réceptionner la poutre, qu'il va falloir guider par la fenêtre...

    C'était vertigineux !
     
    Plus je suis haut, plus je suis heureux ! J'ai suivi la poutre, du moment où on l'a déchargée de la remorque jusqu'à la fin, une fois qu'elle a été mise en place. Pour la retenir, il y avait des moments où c'était... (il souffle, comme sous l'effet d'une brûlure) . Ça passait à pas grand chose, mais je n'ai jamais eu peur que ça ne marche pas.

    Nicolas : la maîtrise du vertige

    Avant la pose de la poutre, sur quoi aviez-vous travaillé ?
     
    Auparavant, j'avais fait beaucoup d'enduits : la montée d'escalier, le lissage de la cheminée du niveau 3, et dans le bas, au sous-sol.
     
    Connaissiez-vous la Tour du Bost avant ce chantier ?
     
    Je suis du Creusot, pourtant je ne connaissais pas la tour ! Je ne l'ai vue que lors de mon premier jour ici. Par contre, depuis la fin de mon contrat, je reviens de temps en temps, pour dire bonjour...
     
    Pourquoi avez-vous voulu participer à ce chantier ?
     
    Le secteur du bâtiment m'intéressait : j'ai fait une formation en maçonnerie. La technique utilisée à la tour est différente de ce que je connaissais : au début, cela m'a semblé difficile, il faut un coup de main pour les enduits... Maintenant, tout ça me paraît simple ! Mon projet professionnel, c'était de rester dans le bâtiment. En ce moment, j'ai trouvé du travail en "interim". C'est autre chose que le bâtiment, mais ça me plaît. J'ai des pièces à découper, à la chaîne. Je travaille toute la journée.
       
    Qu'est-ce que votre passage à la tour vous a apporté ?
     
    Ça m'a appris beaucoup de choses, au niveau du travail, des finitions... L'ambiance du chantier était bonne, je suis bien content d'y avoir participé. C'était une bonne expérience.

     
    Maintenant que vous en savez plus sur Nicolas, vous souhaitez vous remémorer la pose de la fameuse poutre (ou la fameuse pose de la poutre) ?
    Une histoire de poutre (1) : Casse-tête chinois
    La poutre du niveau 4

    Pour avoir plus d'informations : Tremplin Homme et Patrimoine .

    « Sous les toits de Rosières...Coup d'oeil : une porte pesante... (la solution) »

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  • Commentaires

    1
    nbeaudier@yahoo.fr
    Vendredi 13 Novembre 2015 à 21:39
    Bonjr une vielle amie
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