• Pour les "Dames" de la salle du Niveau 4 de la Tour du Bost, s'entend...

    Des serrures pour les Dames

    Détail de la serrure de la porte de l'alcôve

     

    Des serrures pour les Dames

     

     

    Gauthier Jacquelin a forgé de très belles serrures pour les portes de la dite "Chambre des Dames" : des serrures à bosse, gainées avec un cuir qui permet plus de jeu entre le bois et le métal et qui amortit les vibrations entraînées par les chocs répétés lors des ouvertures et fermetures des battants.

     

     

     

    Détail de la serrure de la porte d'entrée :
    on aperçoit le cuir pris en sandwich entre
    bois et fer

    Pour une fois, nous n'ajouterons pas grand chose aux photos : elles se suffisent à elles-mêmes, non ?

    Des serrures pour les Dames

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Les ferrures de la porte de l'alcôve, sur le mur situé à l'est

     

     

     

    Des serrures pour les Dames

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Celles de la porte d'entrée, située au sud

     

    Des serrures pour les Dames

     

     

     

     

    Détail de la serrure de la porte d'entrée

     

    Des serrures pour les Dames

     

     

     

    Détail de la serrure de l'alcôve

     

    Des serrures pour les Dames

     

     

    La porte de l'alcôve

     

     

    Des serrures pour les Dames

     

     

     

     

    Le pêne de la porte d'entrée

     

    Des serrures pour les Dames

    La porte d'entrée, vue du palier

     

    Vous en voulez plus ? Rendez-vous sur l'album consacré aux huisseries de la Tour du Bost.

     


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  • De bois et de fer

    Il est tout frais, il vient de sortir : c'est l'album des photos des huisseries (portes, volets...) de la Tour du Bost. Laissez-vous séduire par ces belles planches de chênes, qui ont donné naissance, sous le ciseau habile et la défonceuse agile, à des portes et des volets de toute beauté ! Le tout, rehaussé d'un travail à la forge impressionnant...
     
    Un petit clic sur la photo, et c'est parti !


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  • Des petits riens - qui font tout !

    Des petits riens - qui font tout !

     

     

     

    Tous ceux qui ont fait des travaux le savent : les finitions, c'est toujours le plus long. Sans doute parce qu'on a l'impression qu'elles seront faites rapidement : c'est tellement peu de chose par rapport au gros œuvre (pense-t-on) !

     

     

     

    Des petits riens - qui font tout !

     

    Hélas, les finitions, c'est minutieux, c'est fastidieux. C'est plein de petits gestes précis à répéter, de petites bricoles à terminer, ici, et là. Et là encore. Il n'y a rien de spectaculaire, comme la pose d'une poutre maîtresse ou la mise en place d'une porte. L'enduit par exemple est plein de petits pièges : il y a les petites inégalités à récupérer, après avoir pris le temps de les repérer ; les "petits bouts" qu'il faut faire, qui demandaient trop de minutie au moment de la pose "générale" ; les traces qu'il faut y laisser (dans l'encadrement des ouvertures) ; les trous à reboucher... 

     

     Il y a aussi les divers rangements et nettoyages. L'élimination des traces blanchâtres sur les tomettes, par exemple, est assez laborieuse. Une fois que c'est fait, on s'empresse de bâcher le sol pour que le passage des uns et des autres, pour les travaux restants, n'oblige pas à recommencer l'opération ! Penchez-vous donc, si ce n'est pas déjà fait, sur
    Un coup de balai qui s'arrose !

    Des petits riens - qui font tout !

     

     

    Passer les boiseries à l'huile de lin fait aussi partie des finitions : un travail fastidieux dont on ressort imbibé de l'odeur de térébenthine... Mais le résultat est toujours à la hauteur des attentes !


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     Des pentures d'époque

    La porte située sur la façade est de la Tour du Bost, au niveau 4, est de fabrication toute récente (en suivant néanmoins une démarche technique médiévale). Vous avez pu en suivre les étapes de fabrication avec nous. Mais les pentures, elles, de récupération, sont d'époque : le XVIe siècle, lorsque cette ouverture a été aménagée. Composées de fer presque pur, ces pentures étaient en bon état et n'ont pas nécessité d'intervention très importante de Gauthier Jacquelin, ferronnier d'art. "Par rapport à l'acier, le fer presque pur a la caractéristique d'être très malléable quand on le travaille sur la forge ; surtout, il présente une oxydation plus superficielle, lorsqu'il est positionné à l'extérieur, aux intempéries", explique-t-il.
     
    Hélas placées sur la face invisible de la porte (depuis l'intérieur du donjon), elles positionnent la porte dans de nouveaux gonds, placés là où se trouvaient les précédents.
     
    Il est dommage de ne voir ce côté de la porte que de loin, du pied du donjon. Aussi avons-nous eu envie de vous le montrer d'un peu plus près, par la grâce du zoom d'un appareil photo...

     

    Des pentures d'époque

     

    De l'intérieur, la porte n'est pas mal non plus ! Pendant un petit moment, après sa pose, il lui manquait encore un verrou : c'est maintenant chose faite.

    Des pentures d'époque

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Depuis la "Chambre des Dames", au niveau 4, on pourra toujours imaginer pousser cette porte cadenassée et pénétrer l'ancien bâtiment, aujourd'hui disparu...
     
    Pour retrouver l'histoire de cette porte :
    Niveau 4 : adieu vertige !


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